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  Le Modèle DISC

Outil de management, de soi même, d’autrui et des situations, permettant de mesurer le comportement d’une personne ainsi que ses motivations, ce qui la pousse à agir. Chacun d’entre nous possède des niveaux différents de chacune de ces couleurs, c’est ce qui nous rend unique.

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Le management
situationnel

 

Cliquez ici pour lire l'article "le management situationnel"

Directif: Le manager prend la décision. Il donne des instructions précises et surveille de près les résultats.
 
Persuasif: Le manager prend la décision après discussion ou explications. Le manager explique ses décisions et donne des occasions de discuter.
 
Participatif: Le collaborateur prend la décision avec le soutien du manager. Le manager partage les idées et facilite la prise de décision.
 
Délégatif: Le collaborateur prend la décision. Le manager délègue ses pouvoirs pour les décisions et l'exécution. 


Le MBTI

 
Cliquer pour lire l'article sur le MBTI
Etabli d'après les travaux de Carl Jung par Katharine Briggs et sa fille Isabel Myers, l'indicateur typologique Myers-Briggs offre 16 types de caractère possibles à partir de 16 combinaisons.
 


Préférences cérébrales

 
 
   


 La fenêtre de JOHARI
Modèle qui représente le degré de connaissance de l'autre et de soi-même dans les relations entre individus. Il traduit les différentes interactions entre l'individu et le groupe dans lequel il évolue. 
 
 
Le modéle
Blake et Mouton
Cliquez pour lire l'article sur la Grille de Blake et Mouton
 
Cette grille permet de définir cinq styles de comportement (susceptibles de variations et de nuances). Ce sont:
- le style 9.1 "boulot-boulot": exclusivement axé sur la production, il cherche à éliminer au maximun l'incidence des facteurs humains.
- le style 9.9 "esprit d'équipe": développe simultanément et de façon harmonieuse un fort souci des personnes et des exigences de production élevées.
- le style 1.9 "gentil organisateur": uniquement préoccupé du climat et des bonnes relations, il laisse au second plan les exigences de production.
- le style 5.5 "opportuniste-pragmatique": négocie adroitement et à tour de rôle entre la satisfaction des demandes personnelles et les exigences de production.
- le style 1.1 "retrait": n'assure qu'un minimum d'instructions, d'information et de présence.
 
 

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entretien d'évaluation
Quel jugement portez-vous sur les entretiens d'évaluation dans votre entreprise ?
excellent
bon
satisfaisant
décevant
médiocre
l'entretien annuel n'est pas pratiqué

Résultats
 
entretien d'évaluation
Quel est le point que votre manager pourrait améliorer durant l'entretien d'évaluation ?
sa capacité à me motiver
sa connaissance de mon poste et de mon activité
sa capacité à me conseiller
sa qualité d'écoute

Résultats
 
 
Il est essentiel d'élaborer un plan d'action commun pour que l'entretien d'évaluation trouve une conclusion positive. Pour donner de bons résultats, un plan d'action doit suivre le modèle SMART:
- Spécifique: que voulons-nous réaliser concrètement?
- Mesurable: il faut pouvoir mesurer les objectifs (durée, qualité, quantité, coûts ...).
- Approprié: l'entretien s'accorde-t-il aux objectifs de l'organisation et aux besoins de votre collaborateur?
- Réaliste: il doit être acceptable, correspondre aux moyens de votre collaboration et de votre organisation.
- Temps: le plan aura une échéance, à diviser en étapes pour permettre un suivi régulier.
 
recrutement
Pour recruter, vous vous fiez avant tout
aux diplômes
à l'expérience
à la personne

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recrutement
Faites-vous passer un test de personnalité à vos candidats ?
Oui
Non
Pour certains postes

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Archives

8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 23:00

Cliquez pour lire le chapitre des lettres de A et BComment expliquer que, sitôt dépassé l’entrée de la firme, Jean-Pierre devienne "acteur du changement"? Quel prodige anatomique fait de Sylviane un "membre actif du comité de projet" et de Marc "l’interface client" dont tout le monde a besoin? Pourquoi faut-il que, pour défendre un dossier, on "sorte du bois" ou qu’on "monte au créneau"? Comment se fait-il qu’un cadre débordé "ne touche pas terre"?

Pour quelle raison étrange "budgétise-t-on" quand on pourrait budgéter ou tout simplement prévoir? Pourquoi mettons-nous un problème "sous le coude" quand on pourrait tout bonnement l’enterrer? Pourquoi place-t-on "le curseur" un peu haut quand il est seulement question d’un objectif excessif? Est-il enfin nécessaire de trouver "une fenêtre de tir" pour traiter un dossier quand une simple date conviendrait?

Si vous vous posez ces questions, ne vous refusez pas le Dico de poche du manager impertinent, écrit par un pourtant sérieux professeur de management! Emmanuel Carré est professeur de management à Bordeaux, ça ne l'empêche pas de moquer le jargon de la vie au travail (dans le public ou dans le privé) sur son blog et dans le dico.

Le jargon de l’entreprise est souvent imagé. On ne licencie pas, on "dénoue le contrat de travail". On ne réfléchit pas, on fait  "dégorger l’escargot". On ne fait pas de scandale, mais on met volontiers un "coup de pied dans la fourmilière". Comme le langage des enfants, celui des firmes illustre parfois des horreurs mais au moins respecte-t-il les convenances... Comme toutes les aventures collectives en quête de cohérence et de cohésion, l’entreprise a besoin d’une chanson de geste pour rester crédible en période de crise. 

Mieux: chaque secteur a son sabir. Les cabinets de conseil en stratégie affirment leur excellence mondialisée au moyen d’un franglais des plus douteux. Hauts ou bas, les fonctionnaires n’ont pas assez de métaphores pour transformer l’immobilisme étatique en une véritable guerre de tranchée. Et puis il y a les managers...  Quel est le business model du Père Noël? Sauriez-vous commenter une réunion comme un match de foot? Avez-vous déjà envisagé l'éducation de vos enfants comme un "process parental en mode projet"? Quelle est votre recette du Codir sauce financière? Grâce à  ce petit livre sans prétention, vous découvrirez une méthode inédite pour décrypter les codes et les modes en vigueur dans nos entreprises.

Cliquer pour accéder au blog "e-manuel de management"

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commentaires

C
Manifestations de la crise du langage<br />  quand les mots "sérieux", "professionnalisme", "méthodologie", "rigueur" reviennent souvent, c’est signe que ces qualités font défaut : quelqu’un de sérieux ne perd pas de temps à les prononcer. <br />  ceux qui ont peur d'être en position de faiblesse si on les comprend cherchent à se protéger par du jargon (débauche d'acronymes, d'anglicismes, de noms propres). <br />  certains, pour impressionner, remplacent le mot propre par un terme abstrait ("méthodologie" pour méthode, "problématique" pour problème, "technologie" pour technique, "générique" pour général, "spécifique" pour particulier ou pour local, "commanditaire" pour donneur d'ordres, "ordonnancement" pour mise en ordre, etc.). Les dégâts sont ici plus graves que ceux causés par le jargon, car c'est le vocabulaire courant lui-même qui est dégradé. <br />  le recours systématique au superlatif ("très grave", "très important", "très sérieux"), voire au superlatif au carré ("c'est très très important") aplatit le langage, le manque de contraste interdisant la perception des priorités. <br />  certaines expressions s’autodétruisent : "principes concrets", "schéma exhaustif", "synthèse détaillée", etc. Ces bombes sémantiques ont pour détonateur une contradiction entre substantif et adjectif (nécessairement un "principe" est abstrait, un "schéma" sélectif, etc.) ; en disloquant la phrase elles fissurent l’ensemble du discours. Sur le plan politique, une expression comme "Fédération d'Etats-Nations" a des effets analogues. De même, on utilise souvent l'expression "pilotage stratégique" : or le "pilotage", qui implique action et réaction à court terme, est par nature tactique ; il faudrait dire "pilotage opérationnel" et "management stratégique". <br />  la dégradation des concepts accompagne celle du langage. On dit "organisation" mais on dessine un organigramme ; "processus" sans définir livrables, acteurs ni délais ; "qualité" (ou mieux "méthodologie de démarche qualité") sans indiquer de critères d'évaluation. <br />  on confond données comptables (biaisées notamment par le principe de prudence) et indicateurs économiques ; gestion (suivi de l’opérationnel) et expertise ; observation (constat des faits) et explication (utilisation d’un modèle) ; donnée statistique (sur une population) et donnée individuelle ; etc.
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P
Dans le même esprit Didier Pourquery a écrit un livre intitulé "Parlez-vous Business?" les 1200 mots pour tout comprendre dans l'entreprise. Dans ce livre il a regroupé les mots les plus utiles et les plus baroques dans le marketing, la finance, les usines, l'administration, la vente, etc.
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