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  Le Modèle DISC

Outil de management, de soi même, d’autrui et des situations, permettant de mesurer le comportement d’une personne ainsi que ses motivations, ce qui la pousse à agir. Chacun d’entre nous possède des niveaux différents de chacune de ces couleurs, c’est ce qui nous rend unique.

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Le management
situationnel

 

Cliquez ici pour lire l'article "le management situationnel"

Directif: Le manager prend la décision. Il donne des instructions précises et surveille de près les résultats.
 
Persuasif: Le manager prend la décision après discussion ou explications. Le manager explique ses décisions et donne des occasions de discuter.
 
Participatif: Le collaborateur prend la décision avec le soutien du manager. Le manager partage les idées et facilite la prise de décision.
 
Délégatif: Le collaborateur prend la décision. Le manager délègue ses pouvoirs pour les décisions et l'exécution. 


Le MBTI

 
Cliquer pour lire l'article sur le MBTI
Etabli d'après les travaux de Carl Jung par Katharine Briggs et sa fille Isabel Myers, l'indicateur typologique Myers-Briggs offre 16 types de caractère possibles à partir de 16 combinaisons.
 


Préférences cérébrales

 
 
   


 La fenêtre de JOHARI
Modèle qui représente le degré de connaissance de l'autre et de soi-même dans les relations entre individus. Il traduit les différentes interactions entre l'individu et le groupe dans lequel il évolue. 
 
 
Le modéle
Blake et Mouton
Cliquez pour lire l'article sur la Grille de Blake et Mouton
 
Cette grille permet de définir cinq styles de comportement (susceptibles de variations et de nuances). Ce sont:
- le style 9.1 "boulot-boulot": exclusivement axé sur la production, il cherche à éliminer au maximun l'incidence des facteurs humains.
- le style 9.9 "esprit d'équipe": développe simultanément et de façon harmonieuse un fort souci des personnes et des exigences de production élevées.
- le style 1.9 "gentil organisateur": uniquement préoccupé du climat et des bonnes relations, il laisse au second plan les exigences de production.
- le style 5.5 "opportuniste-pragmatique": négocie adroitement et à tour de rôle entre la satisfaction des demandes personnelles et les exigences de production.
- le style 1.1 "retrait": n'assure qu'un minimum d'instructions, d'information et de présence.
 
 

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entretien d'évaluation
Quel jugement portez-vous sur les entretiens d'évaluation dans votre entreprise ?
excellent
bon
satisfaisant
décevant
médiocre
l'entretien annuel n'est pas pratiqué

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entretien d'évaluation
Quel est le point que votre manager pourrait améliorer durant l'entretien d'évaluation ?
sa capacité à me motiver
sa connaissance de mon poste et de mon activité
sa capacité à me conseiller
sa qualité d'écoute

Résultats
 
 
Il est essentiel d'élaborer un plan d'action commun pour que l'entretien d'évaluation trouve une conclusion positive. Pour donner de bons résultats, un plan d'action doit suivre le modèle SMART:
- Spécifique: que voulons-nous réaliser concrètement?
- Mesurable: il faut pouvoir mesurer les objectifs (durée, qualité, quantité, coûts ...).
- Approprié: l'entretien s'accorde-t-il aux objectifs de l'organisation et aux besoins de votre collaborateur?
- Réaliste: il doit être acceptable, correspondre aux moyens de votre collaboration et de votre organisation.
- Temps: le plan aura une échéance, à diviser en étapes pour permettre un suivi régulier.
 
recrutement
Pour recruter, vous vous fiez avant tout
aux diplômes
à l'expérience
à la personne

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recrutement
Faites-vous passer un test de personnalité à vos candidats ?
Oui
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Pour certains postes

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9 juin 2007 6 09 /06 /juin /2007 14:11

 Deux mots ont fait leur apparition dans le vocabulaire des managers depuis quelques temps : le "benchmarking" et le "reengineering". Ces outils nécessitent la mise en place d'équipes transversales qui modifient les comportements et les habitudes. Tendances lourdes ou simples modes passagères et donc éphémères ? Explications et analyses d'outils qui permettent d'améliorer les processus dans l'entreprise et, partant, la productivité.

Faire plus avec moins. Voilà un précepte que ne renieraient pas les chefs d'entreprise. Seulement, reste à savoir comment s'y prendre pour appliquer cette règle et quels sont les meilleurs outils qui permettent de faire des économies et d'améliorer la productivité.

Jusqu'à présent les managers avaient à leur disposition un certain nombre d'outils classiques qui, en fin de compte, ne pouvaient leur faire gagner qu'entre 10 et 20% de gain de productivité.

Deux auteurs américains avaient lancé un pavé dans la marre des livres de management. Le "reengineering" est un concept inventé par Michael Hammer, ancien professuer au MIT (Massachusetts Institute of Technology), et James Champy, président de la société de conseil CSC Index, pour améliorer de façon spectaculaire les performances de l'entreprise en réinventant son organisation. L'idée de base est simple: il faut repartir de zéro !

Comme le souligent les deux auteurs, "le reengineering ne consiste pas à rafistoler l'existant ni à le modifier une énième fois sans toucher à la structure de base. Il ne consiste pas à redistribuer les systèmes en place dans l'espoir d'améliorer leur fonctionnement. Il consiste à renoncer aux procédures établies de longue date et à jeter un regard neuf sur le travail nécessaire pour créer le produit ou le service de l'entreprise et satisfaire le client."

Reconfiguration des processus

L'idée générale est donc de tout changer et très vite. Mais il ne faut pas forcément le faire uniquement pour le plaisir de vouloir être "à la mode" et copier sur les entreprises voisines et concurrentes. Une démarche de reengineering se prépare et se prolonge sur plusieurs années.

Ce ne sont pas des opérations spot. Le reegineering s'applique dans les processus pour lesquels l'entreprise est arrivée à la conclusion que tous les moyens classiques de progrès sont terminés. Pour creuser encore l'écart, il faut utiliser le reengineering.

Seulement un constat s'impose: aux Etats-Unis, plus de 70% d'échecs limitent l'utilisation de cet outil. Ce n'est pas la méthode qui est en cause. Les 70% d'échecs sont liés à la mise en oeuvre qui se fait mal. Manque d'impulsion de la direction, un outil qui ne s'insère pas dans un processus d'évolution, un choix des équipes qui n'est pas performant.

Mais certains mettent aussi en avant la fixation d'objectifs trop ambitieux au départ et prônent un champ d'action limité sur un processus clef. Leur raisonnement: mieux vaut ne pas être trop ambitieux et remporter rapidement des victoires pour mobiliser les collaborateurs et passer ensuite à l'étape ultérieure. Le débat n'est pas tranché entre les partisans de la méthode progressive et ceux qui préfèrent tout changer tout de suite pour optimiser les résultats.

Car il ne suffit pas de vouloir faire du reengineering pour arriver au but, il faut une volonté de la direction qui appuie fortement le projet. Sans cette volonté, l'opération ne peut-être efficacement ménée à bien. Les changement à orchestrer sont tels qu'il est indispensable que les membres de la direction s'impliquent totalement.

En outre, s'appliquant sur des processus (la refonte du mode de traitement des commandes-clients, des approvisionnements...) le reengineering implique la constitution d'équipes transversales. Un des grands apports de cet outil, outre les résultats économiques qu'il génère, est de faciliter le dialogue dans l'entreprise en obligeant les collaborateurs à travailler ensemble. Un comité de pilotage incluant des membres de la direction et des experts ainsi qu'une équipe multifonctionnelle qui s'occupe à mi-temps, voire à plein temps, sont les bases de l'organisation de la conduite de projet.

Benchmarking: pas d'épionnage

L'une des étapes de la conduite de projet de reengineering amène l'entreprise à utiliser un autre outil de management: le benchmarking.

La principale erreur commise par les entreprises est de croire que le benchmarking est un outil qui permet d'espionner le concurrent le plus direct, voire la société leader sur son marché. En réalité, il s'agit surtout de comprendre comment une entreprise a pu être la meilleure dans un domaine concerné (le service, les commandes-clients, l'informatique...). Ainsi, lorsuqe Nissan veut lancer une nouvelle voiture, l'entreprise ne se compare pas à Toyota pour améliorer la maintenance et ses services mais à Walt Disney. Loin de l'espionnage, aux Etats-Unis, des entreprises se sont regroupées dans des clubs de benchmarking.

En outre, le benchmarking est un outil qui peut-être utilisé en interne. Une usine qui veut améliorer la compétivité de son département achats peut aisément se comparer avec une usine soeur outre-Atlantique.

Reste qu'un certain nombre de blocages ont été décelés: en premier lieu, le syndrome de la spécificité (ce n'est pas adaptable chez nous), le complexe de supériorité, le syndrome du coût prohibitif, l'autodépréciation (on n'y arrivera jamais).

Comme pour le reegineering, cet outil demande une forte implication de la direction générale pour convaincre l'ensemble des collaborateurs et donner l'impulsion indispensble. Car ces outils de management ne représentent pas une fin mais un moyen qu'il faut sans  cesse remettre en oeuvre. A l'instar des processus sur lesquels ils agissent, ils ne peuvent se permettre de s'arrêter pour contempler le chemin parcouru.

Définition:

Selon James Champy et Michael Hammer, le reegineering est "une remise en cause fondamentale et une redéfinition radicale des processus opérationnels de l'entreprise, pour obtenir des gains spectaculaires dans les performances critiques que constituent aujourd'hui les coûts, le service et la rapidité".

Les deux auteurs insistent sur les quatre mots clefs de cette définition:

Fondamentale, car cet outil ne tient rien pour acquis et s'attache à ce qui devrait être; radicale, dans la mesure où il faut aller aux racines des choses; spectaculaire, puisqu'il faut provoquer un bond quantitatif des performances et ne pas se contenter d'améliorations marginales; processus, le mot le plus important car, selon les auteurs, les chefs d'entreprise se polarisent trop souvent sur les postes, les structures ou les gens.

La démarche de conduite de projet repose sur cinq étapes:

- cibler les processus prioritaires

- analyser les processus et identifier les dysfonctionnement

- déterminer les objectifs et les voies d'amélioration

- reconcevoir les processus

- mettre en oeuvre les processus reconfigurés.

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27 mai 2007 7 27 /05 /mai /2007 18:47

 De quelle façon gagner en autonomie sans perdre la confiance de sa hiérarchie ? Cette réflexion pour le moins iconoclaste est lancée par Michel Barabel et Olivier Leier, maîtres de conférences, animateurs de formations en stratégie et management, dans leur ouvrage Manageor.

Leur propos intéressera sans doute bon nombre de managers découragés par de répétitifs travaux de reporting... "Pour être plus libres, commencez par sécuriser votre hièrarchie", expliquent, en forme de provocation, les auteurs. Mais ne vous contentez pas de belles paroles rassurantes : agissez. Faites valider par votre supérieur les actions réalisées, les décisions prises ou les choix à faire. N'hésitez pas à passer la porte de son bureau : au-delà de l'aspect "contrôle", ces échanges sont un moyen de s'assurer que la direction prise est conforme aux objectifs de l'entreprise. "Contrairement aux idées reçues, faire remonter en permanence une information fiable et pertinente auprès de sa hièrarchie constitue le meilleur moyen de gagner peu à peu en capacité d'initiative et de renforcer son autonomie".

S'appuyant sur une étude menée depuis cinq ans auprès d'une trentaine de dirigeants, l'ouvrage Manageor ne se contente pas de décoder, conseils à l'appui, les mille et une situations managériales du quotidien. Il revient aussi sur des exemples concrets et réels de problématiques rencontrées par les entreprises.

Un ouvrage très complet, comme en atteste son nombre de pages (700 tout de même!), qui parvient à confronter les théories du management à de multiples expériences issues du terrain. 

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18 mai 2007 5 18 /05 /mai /2007 22:04
 

C’est à partir des travaux du prix Nobel Roger Sperry et de Paul D. Mc Lean, que Ned Herrmann à modélisé avec brio le concept du cerveau droit et du cerveau gauche pour en faire un modèle d’analyse et d’évaluation des préférences cérébrales. Il est important de noter qu’une préférence n’est ni : une intelligence, ni une personnalité. Par contre nous avons tous une prédilection pour l’un ou pour l’autre.

 

La typologie d’Herrmann valide celle de Jung.

 

-          cortical gauche (pensée logique, analyse des faits)

 

-          limbique gauche (approche planifiée, organisation des faits, révision détaillée)

 

-          limbique droit (réaction viscérale, réponse sensible, approche relationnelle)

 

-          cortical droit (imagination, visualisation, conceptualisation)

Les deux hémisphères du cerveau fonctionnent donc de façon opposée et complémentaire.

Les liaisons entre les parties du cerveau sont fortes au sein du même hémisphère, faibles voire opposées d'un hémisphère à l'autre (CG ou LD sont quasiment contraires: ainsi s'opposent introversion / extraversion, conservatisme et goût du risque).

Dans le métier de commercial, les contraires seront sollicités.

Ex: Identifier les nouveaux besoins du client (CD) les noter dans le rapport de visite (LG), chiffrer une proposition (CG) et la communiquer au client (LD).

Il faut donc s'entraîner pour arriver à être performant dans tous les registres de notre cerveau.

Les études de Ned Herrmann révèlent que 7% de la population a une fonction dominante, 60% deux, 30% trois, et seulement 3% équilibrent les 4.

Ces chiffres soulignent la difficulté pour deux personnes de communiquer entre elles.

Pour une présentation plus complète du modèle des préférences cérébrales allez sur le lien de genecom ci-dessous.


Pour connaître vos préférences cérébrales le site de genecom vous permettra de passer un test en cliquant sur le lien ci-dessous. 

Ned Herrmann a démontré que notre cerveau est divisé en 4 grandes zones de préférences ou d’aptitudes. Ces préférences sont développées différemment d’un individu à un autre, et que d’autre part elles influent sur notre façon de comprendre, analyser et interpréter un message. Ce qui se ressent dans notre manière de fonctionner au quotidien.

Pour contacter KEYROS management :

 

 

 

 

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14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 22:48

 Quelles que soient les époques, le management se résume finalement à un ensemble de méthodes et à une certaine façon de diriger les hommes.

Passer au XXIe siècle, les méthodes deviennent clairement de plus en plus rigoureuses et professionnelles. On recherche la performance, la formule la plus pointue pour séduire ses clients, défendre ses parts de marché et réussir.

On a beau proclamer la fin des modèles, la plupart des entreprises se concentrent pourtant sur quelques grands thèmes porteurs: la qualité, le service, la baisse des coûts, la performance technologique et la conduite accélérée du changement. Chaque entreprise choisit son cheval de bataille. Mais le niveau de la compétition s'élève; il n'y a plus place pour les approximations ou les erreurs de jugement.

Sur la façon de mener les hommes, les pratiques s'opposent encore. Il existe, en effet, autant d'entreprises qui gagnent en dirigeant de manière dure que d'organisations qui réussissent en respectant les hommes et en se souciant de leur épanouissement. Cela bien entendu tant que les mesures de succès demeurent principalement financières et que le marché de l'emploi ne permet pas encore à ceux qui ne se sentent pas reconnus de quitter l'entreprise.

Au-delà de ce contraste marqué dans les approches de management, une logique de fond se dégage tout de même. En effet, le succès d'une entreprise repose de manière grandissante sur la rapidité de changement interne, la capacité d'innovation et la motivation des salariés. Trois domaines où l'humanisme produit de meilleurs résultats que les méthodes autocratiques.

En pariant sur cette tendance, le leader des années 2000 se veut un manager à la fois rigoureux et humain, sensible et fort, réceptif et déterminé, équilibré en somme. Quel que soit son tempérament, il est davantage communicateur et pédagogue qu'homme de dossier. L'individu a besoin de comprendre toujours mieux les choix qu'opère son entreprise et les stratégies qu'elle défend. Ne pas fournir fréquemment ces informations revient à priver ses collaborateurs d'une précieuse intelligence d'action.

Ce leader valorise naturellement la sincérité, la simplicité et la transparence. Il ne joue pas un personnage, mais reste lui-même avec le souci de s'améliorer, car il sait que l'état d'esprit d'une entreprise, donc sa propension à réussir, est calqué sur la mentalité et les actes de ses principaux responsables.

Un livre outil très intéressant à lire: "Révélez le manager qui est en vous!

 Vous êtes orienté "résultats", vos décisions sont fermes, vous exercez pleinement vos responsabilités? Pas de doute, vous êtes un manager directif. Mais cela ne suffit pas. "Si vous voulez évoluer, vous aurez besoin de développer d'autres styles. Vous aimerez montrer votre côté expansif et laisser de temps en temps votre rigueur de côté? Variez vos activités journalières autant que possible et, lors de votre prochaine réunion de service, préparez une animation faisant appel à la créativité de vos collaborateurs et soyez à l'écoute", recommande Patrice Fabart. L'auteur propose de jouer sur la souplesse en déployant pour chaque situation un style de management spécifique: directif, expansif, coopératif, normatif...

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8 mai 2007 2 08 /05 /mai /2007 00:44

 Chacun de vos clients a une personnalité, une image de lui, un style de vie différents...

Qu'entend-on par "socio-style"? Le socio-style d'un individu induit ce qu'il dit, ce qu'il fait et la manière dont il agit. Se décide-t-il rapidement ou lentement? Ecoute-t-il ou non? Travaille-t-il avec précision ou sans méthode? Le socio-style peut se déterminer en fonction de deux critères: la confiance en soi et l'ouverture à l'autre. Si l'on combine ces deux critères, on obtient quatre caractéristiques sociales fondamentales.

" Je suis comme toi !"

Le client fait davantage confiance aux vendeurs qui lui ressemblent. Quels moyens avez-vous de lui prouver que vous êtes comme lui ?

1. Faites allusion à un savoir commun: expérience, conception, etc. Les choses les plus simples peuvent vous rapprocher. Si le client mentionne au téléphone que son entreprise est facile d'accès, servez-vous de cet élément en guise d'introduction lorsque vous lui rendrez visite : "J'ai été étonné de la facilité avec laquelle on vous trouve!"

2. Exprimez tout haut ce que pense le client: "Un de mes plus fidèles acheteurs me racontait récemment que, lors de ma première viiste chez lui, il ne voulait pas me recevoir... N'est-ce pas ce que vous pensez aussi ?".

3. Adoptez un langage corporel identique afin de le sécuriser. S'il parle doucement, faites de même. S'il se lève, attendez quelques instants puis levez-vous à votre tour. Mais attention! Procédez avec circonspection de façon à ne pas l'énerver.

4. Reformulez ses déclarations. Vous lui démontrerez ainsi que vous l'avez bien compris. De temps à autre, lorsqu'il s'arrête, répétez ses derniers mots. Le client : "Je ne sais pas encore quelle est la meilleure solution pour nous". Vous: "La meilleure solution pour vous?.

Comment vous comporter face à l'acheteur? Cela dépend de son socio-style...

Le client analytique

Il est à la fois peu ouvert et peu sûr de lui. Il est travailleur, objectif et bie organisé. Il aborde son travail avec méthode et a besoin de rassembler de nombreux faits concrets avant de prendre une décision.

- Gardez-vous de lui mettre la pression

- Adoptez une tenue vestimentaire et un langage soignés

- Dressez des listes d'avantages et d'inconvénients. Montrez en quoi votre offre est bonne, sans jamais exagérer.

- Argumentez en vous servant d'exemples et de données chiffrées (grille de prix, documentations, références clients).

- Mentionnez précisément la date à laquelle vous comptez rappeler le client, lui envoyer les documents qu'il a demandés ou finaliser le contrat.

Le client driver ou entrepreneur

Il manifeste peu d'ouverture d'esprit et démontre une forte confiance en lui. Il sait ce qu'il veut obtenir et en arrive vite à l'essentiel. Sa devise : "Le temps c'est de l'argent". Il s'exprime avec concision et force. Il est pragmatique et aime prendre des décisions. Il contrôle toujours ses résultats et surveille de près la concurrence.

- Montrez-vous déterminé. venez-en rapidement au fait et indiquez les objectifs précis de l'entretien.

- Concentrez-vous sur les arguments les plus forts (aux yeux de l'acheteur).

- Ne lui offrz pas plus de deux ou trois alternatives

- Présentez-lui des preuves: chiffres, références, comparaisons de performances, etc...

- Prenez rapidement congé dès que tout a été convenu.

Le client expressif

Il est doué d'empathie et a une forte confiance en lui. C'est un visionnaire et il aborde les problèmes d'une manière peu conventionnelle. Il en assume tous les risques. Son enthousiasme est communicatif: il a le don de motiver ses collaborateurs.

- Evitez les argumentations trop sèches. Abordez des sujets divers: faites référence aux expériences que vous ou d'autres de vos clients ont vécues. Confiez-lui votre opinion personnelle.

- Négociez "à grande échelle": ce client a horreur des petites affaires.

- Sachez deviner ses rêves et ses visions. Prouvez-lui que vous le considérez comme un entrepreneur pilote.

- Appelez-en à son goût de l'innovation. Proposez-lui de participer avec vous à l'élaboration de solutions nouvelles.

- Montrez-vous optimiste, quel que soit le tour que l'entretien puisse prendre. Il aura du plaisir à maintenir le contact.

Le client aimable

Il allie une faible confiance en lui à une grande ouverture d'esprit. Il comprend les besoins et les désirs des autres et devine ce que ressent son interlocuteur, que ce soit un collègue, un vendeur ou autre. Sa confiance dans les individus stimule leurs dispositions positives.

- Etablissez un contact émotionnel. Soyez naturel et bannissez le ton de voix trop brutal.

- Parlez ouvertement de vos doutes, de vos craintes, voire de vos erreurs.

- Aidez votre acheteur à prendre sa décision finale, mais sans exercer de pression.

- Montrez de la compréhension à l'égard de ses problèmes professionnels ou privés.

- Rendez-lui fréquemment visite. Il est très sensible aux contacts.

 
Le terme "Socio style" est aussi utilisé pour donner une grille de lecture des styles de vie de la population.
 
Définition

Groupe d’individus rassemblés selon des critères homogènes de styles de vie (manière de vivre, manière de penser, attitudes, opinions, valeurs des comportements, aspirations...). Au sein du groupe Havas Advertising, le C.C.A. (Centre de communication avancée) développe cette méthodologie depuis 1972 en France, en réactualisant régulièrement la typologie et la cartographie des styles de vie des Français. Elle propose : un tableau de bord composé de cinq indicateurs ; une topographie des zones climatiques (typologie double des socio-styles et des mentalités) ; une rose des vents socioculturels (13 flux culturels bipolaires décrivant idées et valeurs) ; une carte de géographie sociale (positionnement relatif des familles de styles de vie) ; une boussole culturelle (grands axes attirant et divisant les Français) ; des scénarii prospectifs (hypothèses d’évolution). « L’intérêt véritable des styles de vie réside en fait dans une description bien meilleure des caractéristiques propres à une cible donnée, notamment par la mise en évidence des centres d’intérêt, des opinions ou des activités principales qui la caractérisent, autant d’éléments qui seront utilisés avec bonheur et avec succès, à la fois dans une stratégie de positionnement mais surtout de communication ».

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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 22:11

 Madame Ségolène ROYAL utilise dans ses discours le terme " gagnant/gagnant ". Hors ce terme emprunté à la négociation commerciale venu dans les années 80 de la Californie est plus couramment appelé " win win ", comme quoi les nouveautés naissent de l'oubli. Ainsi la candidate à l'élection présidentielle se met à l'heure de la " win win négociation ", une approche de la vente par le dialogue gagnant / gagnant, une philosophie plus qu'une méthode. Les français vont-ils l'acheter ?

Pour certains, la négociation est un moyen d'obtenir quelque chose de quelqu'un, et en accord avec ce principe, il y aura un gagnant et un perdant. Cette approche synonyme de lutte est appelée négociation gagnant/perdant.

Une autre interprétation de la négociation, est la recherche d'un accord visant à satisfaire les deux parties. C'est la win-win négociation, le dialogue gagnant/gagnant. Plus qu'une technique de négociation, il s'agit d'une approche client-fournissuer, d'une philosophie, d'un type de business qui trouve ses applications dans le commercial, le marketing, le management global, les rapports avec l?environnement de l?entreprise et maintenant par extension au langage politique.

La win-win négociation et plus généralement, la win-win communication sont ensemble une philosophie de la vie. Par l'utilisation de cette technique, vous concentrez votre attention sur le problème que vous avez à résoudre ou sur le contrat que vous voulez décrocher. Vous ne considérez pas votre interlocuteur comme un adversaire, comme un partenaire que vous pouvez aider à résoudre un problème. Durant cette négociation, vous allez chercher des solutions acceptables pour une mutuelle satisfaction. Comme la nature ne nous a pas fait égaux, nos besoins sont différents. De là, chacun peut sortir victorieux de la négociation. Tout le monde a des objectifs communs : succès (succès en affaire, succès social, succès dans le respect que les autres vous octroient). Mais chacun a sa propre route pour atteindre ses objectifs : ses besoins spécifiques, ses propres valeurs, ses propres critères. Le concept philosophique de la win-win négociation est ainsi défini par ses initiateurs américains : " Atteindre des objectifs communs en répondant aux besoins spécifiques et différents de chacun, pour une satisfaction mutuelle. "

C'est toute la différence entre être positif et négatif, entre être constructif et destructif, entre être mature et immature, dans le comportement, dans la manière de vivre et dans la manière de penser.

Tous les bons vendeurs pratiquent en fait cette approche peu ou prou. La méthode n'est pas nouvelle mais la " win-win " présente cette avantage de systématiser des principes jusqu'alors diffus, les transformant ainsi en règles de vente opérationnelles.

La négociation de la win-win négociation, donne une autre option pour l'entreprise.

Les origines californiennes de la technique reflètent certainement une vision de la vie que nous, européens, avons du mal à concevoir et de vouloir l'appliquer dans un discours politique est une autre affaire...

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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 00:41

 Dans son nouveau livre Service gagnant, Ralph Hababou débute par une anecdote d'une relation client : il s'agit d'un centre des impôts qui répond au téléphone après les horaires d'ouverture, qui identifie facilement le contribuable (client) qui appelle, qui rappelle après avoir eu un signal d'appel sur son poste et qui déclare "C'est normal, Monsieur, nous sommes à votre service". Remarquable...

Le service du client pour les entreprises, écrit Ralph Hababou dans cet ouvrage, "c'est un peu comme le sexe pour les adolescents. Ils en parlent tout le temps ; ils ne pensent même qu'à ça. Mais peu d'entre eux le pratiquent vraiment. Et quand ils finissent par le faire... le résultat n'est pas génial."

Les ados ont des excuses. Les entreprises aussi. Car, souligne l'auteur, les consommateurs sont devenus de véritables tyrans. Non seulement ils en demandent toujours plus, mais ils veulent tout, tout de suite. Ils exigent d'être rassurés, qu'on leur facilite la vie, mais se réservent aussi le droit de se plaindre s'ils sont mécontents. Et ils zappent sans vergogne dès qu'ils trouvent moins cher ailleurs...

Et, pourtant, c'est en soignant le service - plutôt qu'en se battant sur les prix - que l'on gagne des parts de marché. Ralph Hababou, dirigeant du cabinet PBRH Conseil et cofondateur de la chaine Colombus Café, multiplie les exemples de firmes qui ont choisi de monter en gamme pour mieux servir les clients: Toyota et sa gamme Lexus, BMW et sa mini, Nespresso et ses dosettes vendues à prix d'or, le Club Med, Apple... Ralph Hababou délivre un message optimiste. Quand le service devient gagnant pour tout le monde...

Ralph HABABOU interviewé par Frédéric-Michel CHEVALIER.

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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 22:04

Au jeu du savoir mentir, patrons et salariés rivalisent de prouesses. Boniments, baratin ou impostures, les mensonges rythment la vie quotidienne de l'entreprise. Prudence toutefois: les plus gros ne sont pas forcément les plus efficaces. Typologie.

Toute vérité n'est pas bonne à dire, c'est bien connu. Et dans l'entreprise encore moins qu'ailleurs. Afin que le parcours professionnel se rapproche davantage d'un "long fleuve tranquille" que d'un piste de bobsleigh, il faut en permanence composer et manier avec dextérité concessions et artifices.

Parfois - pour la bonne cause évidemment - il faut en passer par de menus mensonges. Entre collègues, afin de ne pas froisser les susceptibilités ou pour améliorer l'ambiance du travail, cela se révèle sans conséquences. Mais lorsque le mensonge empoisonne les rapports hiérarchiques ou devient un mode de gouvernement d'entreprise, les conséquences peuvent être plus graves.

Voici un petit florilège de situations auxquelles chacun a été confronté à un moment ou à un autre dans sa vie professionnelle.

Mentir pour gagner du temps

C'est l'une des formes les plus répandues du mensonge "managérial". Il s'applique par exemple parfaitement à une demande de promotion. Le supérieur hiérarchique de la personne qui sollicite un "coup de pouce" dans son ascension au sein de l'entreprise n'a pas répercuté cette demande à l'échelon supérieur, pour une multitude de raisons, bonnes ou mauvaises. Que faire pour ne pas confesser cet "oubli", et ainsi décevoir ou démotiver un collaborateur compétent? Il est tentant de lui certifier que sa demande, par ailleurs en bonne voie d'aboutir, a été transmise et soutenue. La réponse risque d'être longue à venir. On promet de l'avertir dès que l'on aura des nouvelles. Avec ce pieux mensonge, on peut espérer qu'il ne reviendra pas à la charge avant quelques semaines, voire plus. Mais ce pari hasardeux risque d'empoisonner l'atmosphère.

Ici, le mensonge agit comme un calmant, efficace à condition de ne pas forcer la dose, et de ne l'utiliser qu'une seule fois. On capitalise grâce à lui de précieux jours, ayant ensuite tout loisir de préparer et de faire accepter une décision finale. Il est très pratique pour toutes les demandes comportant des mots qui se terminent par "tion", comme augmentation, promotion, formation, mutation,etc...

Mentir pour garder le pouvoir

Ce mensonge est peu glorieux et rarement indispensable, ses bénéfices étant intégralement réservés à son utilisateur. C'est cependant une variante de mensonge très répandue, car extrêmement facile d'emploi. plus connue sous le nom de "rétention d'information", elle permet aux "sachants" de préserver leur savoir et, du moins l'espèrent-ils, leur ascendant sur des subordonnés parfois trop curieux, ou trop intelligents... En fait, elle est largement pratiquée par ceux qui craignent qu'on ne prenne leur place. On ne s'y attardera pas plus que ça... Ou juste pour donner à ses adeptes la phrase suivante à méditer: "Celui qui croit fuir son destin est seulement attaché par une corde plus longue."

Mentir pour se valoriser

Un manager, quelles que soient ses qualités humaines, délivre avant tout un message et fait appliquer un système de valeurs qui lui viennent d'"en haut". Or il a besoin de fédérer ses équipes, de constituer pour elles un moteur, pour qu'elles travaillent en harmonie et soient plus productives. Comment peut-il se valoriser? En mentant effrontément, sur des sujets invérifiables. On l'aura compris, ce mensonge est léger et pétillant comme une bulle de champagne, puisque destiné à se faire mousser auprès des interlocuteurs. Au sein de l'entreprise, il commence souvent par le récit d'une bataille: "Je me suis tellement acharné..." ou bien "J'ai réfuté une à une toutes les objections", et se termine irrémédiablement par celui d'une victoire: "Il a craqué et fini par accepter!" "Il" étant, bien entendu, son propre supérieur hiérarchique, une femme ou un homme que les collaborateurs connaissent à peine et que le "menteur" présente toujours comme un être particulièrement rigide et difficile à convaincre. Evidemment, emporter "sa" décision n'a pas été si ardu, peut-être même a-t-"il" dit oui sans discuter. Peu importe, voilà bien une stratégie inoffensive, qui permet de passer pour un "caid" à peu de frais. C'est le mensonge le plus émouvant, car il touche de près à l'enfant vantard qui sommeille en chacun de nous.

Mentir pour éviter de se faire pièger

Voilà bien une situation fort embarrassante, et malheureusement assez courante : obéir au "grand patron" sans pourrir ses relations avec son chef direct. Lorsqu'ils donnent des instructions contradictoires et que les relations entre eux ne sont pas au beau fixe, la situation devient franchement dangereuse. La seule possibilité est de mentir par omission, de privilégier les bonnes relations avec son supérieur direct. Mais, dans ce genre d'impasse, on ne peut que conseiller de faire le gros dos en souhaitant que les deux chefs règlent leurs querelles sans passer par l'intermédiaore d'un tiers.

Mentir pour rassurer son supérieur

Employé par la filiale française d'un grand groupe international, vous devez rendre prochainement un rapport très attendu, rapport qui sera transmis à votre chef avant d'être présenté par lui-même aux Etats-Unis. Vous n'avez aucune raison de vous inquiéter outre mesure. Certes, vous avez pris un léger retard dans la dernière partie du travail, mais vous savez pertinemment que vous serez prêt dans les temps. Votre patron, en revanche, est plus fébrile à l'idée d'"auditionner" devant les grands pontes new-yorkais, et ne cesse de vous harceler pour lire votre oeuvre avant l'heure. Le connaisssant bien, vous pouvez parier que, s'il apprend où vous en êtes, il est bon pour un infarctus. Donc, ne lui dites rien à ce sujet, mais garantissez-lui l'issue heureuse de votre dossier. Affirmez-lui par exemple: "J'ai presque terminé, mais je voudrais d'abord travailler sur la mise en page avant de vous le présenter." Glissez-lui subtilement que vous allez fignoler le tout au cours du prochain week-end, cela le culpabilisera un peu et le rassurera beaucoup: il aura ainsi le sentiment que vous vous donnez vraiment les moyens de produire quelque chose de bien.

Dans ce cas de figure, le subordonné joue le rôle du parent réconfortant et chaleureux qui ment à un enfant (son supérieur hiérarchique) pour ne pas le décevoir ou l'inquiéter inutilement, et aussi pour avoir la paix. Une tromperie pleine de bons sentiments, en somme...

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20 avril 2007 5 20 /04 /avril /2007 22:55

Vous avez sans doute vu le dernier film publicitaire du Crédit foncier sur la cible des jeunes.

Pour cette campagne publicitaire dont le film a été réalisé par Dimitri Cohen-Tanugi et Pierre Razetto, de Kawa Animation, présente des personnages à tête de toit, abordant le thème de l'accession à la propriété des jeunes.  

 

 

En cliquant sur le lien ci-dessous vous accéderez à la plateforme d'explications de cette campagne. L'annonceur et son agence s'exprime publiquement et léve le voile sur les fondamentaux de cette nouvelle démarche pour le crédit foncier.

 

Suite de la campagne du crédit foncier

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14 avril 2007 6 14 /04 /avril /2007 23:51

En cette période d'élection présidentielle alors que nous sommes submergés par les infos sur les moindres paroles, faits et gestes des candidats certains d'entre nous encore hésitent peut-être, ne savent pas ou ne veulent pas savoir de quel candidat il ou elle est le plus proche.
Pour vous y aider je vous invite à tester le questionnaire "De quel programme êtes-vous le plus proche" du quotidien Le Monde
et il vous répondra !!!

 

Autre questionnaire "Le polimetre" de RTL.

"De quel(le) candidat(e) à l'élection présidentielle êtes-vous le plus proche ?"

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