Comment trouver des profils qui peuvent s'harmoniser sans trop se ressembler, des personnalités motivées par le projet commun sans se noyer dans l'affectif?
Eviter les équipes de clones
Dans l'entreprise, le problème est souvent le même: une réunion de brillants CV ne fait pas forcément une bonne équipe. Nombre de managers constituent la leur en se basant uniquement sur les compétences de ceux qu'ils veulent recruter. Dans les open spaces de certains grands groupes, on croise des équipes de clones qui pensent, parlent et parfois s'habillent pareil. Les chefs de projet, eux, ont souvent tendance à ne vouloir embaucher que des bac+5, persuadés - une manie très française - que le nombre d'années d'études après le bac est un gage de talent, " On se comprend plus vite et surtout chacun comprend ce que fait l'autre", affirment-ils. Ce qui me rend très sceptique, un X aura toujours tendance à recruter un X. Ils seront d'accord sur le non-dit car ils ont des règles communes édictées par leur formation. Mais on finit par ne plus se parler tellement on est d'accord. Gare donc à la consanguinité...
Choisir la bonne dose de poil à gratter
Une fois définie la gamme de compétences, le manager doit aussi savoir prendre des risques. En s'entourant d'équipiers de tempéramment, quitte à ce que la relation soit parfois conflictuelle. Un bon manager sait gérer des collaborateurs poil à gratter. Sans oublier dans le casting ceux qui ne sont pas forcément les meilleurs sur tous les sujets, mais qui brillent par leur entregent ou qui ont une fonction de lien dans le groupe. Il ne faut pas s'entourer uniquement d'experts incapables d'aller vers les autres.
A ce titre, les "spécialistes en T" sont des profils particulièrement recherchés : experts plus ou moins performants dans leur domaine - comme la barre verticale de cette lettre - ils sont capables de décloisonner leur travail et de s'intéresser à celui des autres - un trait de caractère symbolisé par la barre horizontale. Une qualité qui génère des interactions, éléments nécessaires pour construire un groupe.
Adapter la règle de "l'efficacité optimale".
La méthode Arc en ciel, a démontré il y a longtemps l'importance de la personnalité de chaque collaborateur au sein d'une équipe. Elle permet de représenter et d'illustrer la problématique du management, qui est d'assurer la compatibilté entre les deux registres opposés et complémentaires que sont la nécessité d'une hiérarchie des fonctions et la prise en compte d'une égalité des personnes. Cette méthode a pour but de rendre possible une meilleure compréhension mutuelle et une meilleure répartition du travail afin de constituer des équipes équilibrées et efficaces.
Négocier ce qui est difficile à changer
Entre la théorie et la pratique, aucun manager ne doit trop rêver avant de bâtir sa "dream team". La marge de manoeuvre est souvent étroite, limitée par des contraintes de budget, de délais et de personnel. Il a rarement la possibilité de construire de toute pièce son groupe déjà existant et c'est alors à lui de s'adapter.
















Les formations destinées aux forces de vente contiennent de plus en plus souvent des volets "management" importants. Les responsables commerciaux sont en train de se transformer en animateurs.
Le LipDub (le play back au bureau), lancé par une web agency américaine
Dire que les membres de l’équipe doivent mieux collaborer entre eux revient à enfoncer une porte ouverte. La question centrale est : comment y arriver ? Com-ment obtenir une équipe qui se dépasse ?
Tous les ans, c'est pareil. A l'approche d'une nouvelle année, l'euphorie des fêtes aidant, chacun fourbit dans l'ombre sa nouvelle cuvée de bonnes résolutions professionnelles.
Une erreur de recrutement peut coûter cher à votre entreprise. Quelles sont les principales causes d'échec ?
Le travail d'équipe revêt dans toute l'entreprise une valeur essentielle. Pourtant, il y a des cas où il faut agir seul !
Adapter votre comportement afin que le client dise "OUI"! 
L'accélération de l'histoire n'est pas une expression gratuite, ni fortuite; elle témoigne, au contraire, des turbulences et des courants de fond de la société: le monde va vite, et tout change. Quand un domaine bouge, le mouvement entraîne d'autres secteurs dans le sillage, et, ainsi, évoluent les modes, les techniques, les mentalités, les arts et les cultures.
Le management situationnel

