DISCommuniquer

bouton-testezvous.gif

 


Vu dans la presse

lentreprise.jpg


  
 
 
anim_diagnostic.gif
 
360_o.gif
   
  Le Modèle DISC

Outil de management, de soi même, d’autrui et des situations, permettant de mesurer le comportement d’une personne ainsi que ses motivations, ce qui la pousse à agir. Chacun d’entre nous possède des niveaux différents de chacune de ces couleurs, c’est ce qui nous rend unique.

testezvous.jpg
fabart.jpg


Le management
situationnel

 

Cliquez ici pour lire l'article "le management situationnel"

Directif: Le manager prend la décision. Il donne des instructions précises et surveille de près les résultats.
 
Persuasif: Le manager prend la décision après discussion ou explications. Le manager explique ses décisions et donne des occasions de discuter.
 
Participatif: Le collaborateur prend la décision avec le soutien du manager. Le manager partage les idées et facilite la prise de décision.
 
Délégatif: Le collaborateur prend la décision. Le manager délègue ses pouvoirs pour les décisions et l'exécution. 


Le MBTI

 
Cliquer pour lire l'article sur le MBTI
Etabli d'après les travaux de Carl Jung par Katharine Briggs et sa fille Isabel Myers, l'indicateur typologique Myers-Briggs offre 16 types de caractère possibles à partir de 16 combinaisons.
 


Préférences cérébrales

 
 
   


 La fenêtre de JOHARI
Modèle qui représente le degré de connaissance de l'autre et de soi-même dans les relations entre individus. Il traduit les différentes interactions entre l'individu et le groupe dans lequel il évolue. 
 
 
Le modéle
Blake et Mouton
Cliquez pour lire l'article sur la Grille de Blake et Mouton
 
Cette grille permet de définir cinq styles de comportement (susceptibles de variations et de nuances). Ce sont:
- le style 9.1 "boulot-boulot": exclusivement axé sur la production, il cherche à éliminer au maximun l'incidence des facteurs humains.
- le style 9.9 "esprit d'équipe": développe simultanément et de façon harmonieuse un fort souci des personnes et des exigences de production élevées.
- le style 1.9 "gentil organisateur": uniquement préoccupé du climat et des bonnes relations, il laisse au second plan les exigences de production.
- le style 5.5 "opportuniste-pragmatique": négocie adroitement et à tour de rôle entre la satisfaction des demandes personnelles et les exigences de production.
- le style 1.1 "retrait": n'assure qu'un minimum d'instructions, d'information et de présence.
 
 

Bienvenue aux

    lecteur(s) en ligne 

pave_etudia.jpg

 
Pour nous contacter
 
   mail_question.jpg
 
 

 

 

arcenciel.gif 
 

manager_go.jpg

 

ID.jpg

 

 
 
entretien d'évaluation
Quel jugement portez-vous sur les entretiens d'évaluation dans votre entreprise ?
excellent
bon
satisfaisant
décevant
médiocre
l'entretien annuel n'est pas pratiqué

Résultats
 
entretien d'évaluation
Quel est le point que votre manager pourrait améliorer durant l'entretien d'évaluation ?
sa capacité à me motiver
sa connaissance de mon poste et de mon activité
sa capacité à me conseiller
sa qualité d'écoute

Résultats
 
 
Il est essentiel d'élaborer un plan d'action commun pour que l'entretien d'évaluation trouve une conclusion positive. Pour donner de bons résultats, un plan d'action doit suivre le modèle SMART:
- Spécifique: que voulons-nous réaliser concrètement?
- Mesurable: il faut pouvoir mesurer les objectifs (durée, qualité, quantité, coûts ...).
- Approprié: l'entretien s'accorde-t-il aux objectifs de l'organisation et aux besoins de votre collaborateur?
- Réaliste: il doit être acceptable, correspondre aux moyens de votre collaboration et de votre organisation.
- Temps: le plan aura une échéance, à diviser en étapes pour permettre un suivi régulier.
 
recrutement
Pour recruter, vous vous fiez avant tout
aux diplômes
à l'expérience
à la personne

Résultats
 
recrutement
Faites-vous passer un test de personnalité à vos candidats ?
Oui
Non
Pour certains postes

Résultats
 

Archives

24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 20:23

talent.gifD'où vient le talent d'un Mozart, d’un Tiger Woods ou d’un Jack Welch ? N’est-il pas confortable de penser qu’il leur est tombé du ciel ? Or, aucune étude scientifique n’a jamais prouvé l’existence d’un don inné chez qui que ce soit. L’exemple des soeurs Polgar, toutes trois formées par leur père pour devenir des championnes d’échec, tend au contraire à prouver que le talent s’acquiert.

Alors, quel est ce « petit plus » qui fait la différence ? Il ne s’agit ni de QI ni de mémoire, mais de ce que Geoff Colvin nomme la « pratique délibérée » : un entraînement rigoureux pour améliorer ses performances dans un but de dépassement du maître, fondé sur un effort intense de concentration et un retour constant sur les résultats. Si cette pratique n’est pas franchement source de plaisir, nul ne peut atteindre l’excellence sans elle.

À l’heure où la guerre des talents voit les entreprises investir quantité d’argent, de temps et d’énergie pour recruter ou s’arracher les meilleurs éléments, ce livre propose une tout autre approche : utiliser les principes de la pratique délibérée pour former le talent des hommes, individuellement et en équipe. Ce qui signifie entre autres :


• permettre aux collaborateurs de progresser en les nommant à des postes où ils devront se dépasser ;


• former des leaders en leur donnant des missions de courte durée hors de leur champ d’intervention habituel afin d’élargir leurs compétences et leur vision ;


• instaurer un retour d’information permanent et une culture de franchise sur les résultats ;


• utiliser le levier de la motivation plus que celui de l’autorité.


Un livre qui démystifie l’idée de talent et donne des clés pour développer la performance et encourager l’innovation dans l’entreprise.

 

Il était une fois le management...

 

Partager cet article
Repost0
22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 00:15
manager-me-fascine-web.jpg"Manager me fascine... et j'adore gérer les crises". Un livre indispensable pour se relaxer, rire et réfléchir à la fois ! Ce livre est un outil de management pour les mangers et leurs collaborateurs. Une série de 49 dessins humoristiques pertinents, de Jissey, ayant pour légende une citation d'homme célèbre, et en face un texte de conseil stratégique pour savoir aborder la crise, rédigée par Ercey. Le tout forme un ouvrage désopilant et enrichissant à la fois qui propose 7 étapes pour surmonter la crise.

- étape 1 : repérez les symptômes
- étape 2 : analysez les risques
- étape 3 : définissez un plan d'action
- étape 4 : communiquez
- étape 5 : agissez
- étape 6 : réagissez
- étape 7 : tirez profit de l'expérience

Vous serez un manager hors pair en refermant le livre !


calameo.jpg
Partager cet article
Repost0
22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 12:35

Ce livre ressemble à tout sauf à un ouvrage de management. Pourtant, c'est un véritable outil de réflexion sur l'organisation d'une entreprise. Avec une particularité: il est présenté sous la forme d'une fable illustrée.

 

 

Un beau jour, Fred, un pingouin un peu plus curieux que les autres, découvre que la banquise est en train de fondre et risque de se briser. Après moult hésitations, il décide de faire part de ses inquiétudes à Alice, l’un des membres du Conseil des dix. La suite de l’histoire rend compte de leurs questionnements et de leurs efforts pour convaincre les autres membres du Conseil de l’imminence du danger et de la nécessité de modifier les habitudes de la tribu. Doit-on croire Fred ? Doit-on mettre au courant le reste de la colonie au risque de provoquer un mouvement de panique ? Quelles sont les solutions envisageables ?
Les héros de cette fable – Louis (le Chef du clan), Chouchou (le favori de ces dames), NonNon (l’« ancien » qui dit toujours non) ou le Professeur (l’« intello ») – nous parlent de résistance au changement et d’actions héroïques, d’obstacles apparemment insurmontables et de tactiques pour les déjouer.
Nourrie des travaux de recherches de John Kotter, professeur à Harvard et spécialiste de la conduite du changement dans les organisations, cette fable a déjà aidé des milliers d’individus et d’entreprises grâce au modèle de changement en huit étapes qu’elle met en scène. Alerte sur la banquise ! est une histoire à mettre entre toutes les mains : avec humour et perspicacité, elle en dit long sur nos résistances au changement et constitue un guide de réflexion à l’heure où de grands bouleversements s’annoncent dans notre monde contemporain.

 

Le livre détaille, en outre, les huit étapes d'un changement organisationnel réussi.



Partager cet article
Repost0
30 septembre 2008 2 30 /09 /septembre /2008 07:17

Manager avec les couleurs, voici ce que nous propose Patrice Fabart depuis 2002.
Durant ces ces six dernières années, l'utilisation des couleurs s'est peu à peu développée dans les entreprises, parfois avec un simplisme caricatural, ce qui l'a poussé à enrichir cet ouvrage pour en faire une nouvelle édition.
Au carrefour du management, de la psychologie et du développement personnel, cet ouvrage intègre toutes ces dimensions pour proposer une méthode unique et originale, afin de se situer et d'orienter son action dans l'entreprise.
Une forte composante philosophique est à l'origine de la Méthode des Couleurs Arc-en-Ciel appliquée au management: "comment mieux vivre dans le monde en tant que personne et dans notre fonction".
Elle repose sur la sentance de Marc Aurèle:

"L'être humain accompli est celui qui a la force et le courage de changer ce qu'il peut changer, la sérénité d'accepter ce qu'il ne peut changer, la sagesse d'en faire la différence."

Afin d'atteindre une efficacité optimale, la Méthode des Couleurs Arc-en-Ciel propose le dispositif en 4 étapes suivant:
1er étape: Mieux se connaître dans ses forces et faiblesses en tant que personne et dans sa fonction professionnelle.
2ème étape: S'assouplir et se développer tout en respectant ses limites.
3ème étape: Mieux reconnaître les autres (collaborateurs, collègues, managers) dans leurs forces et faiblesses en tant que personnes et dans leurs fonctions professionnelles.
4ème étape: Intégrer et prendre en compte la situation.

Cette méthode de travail, applicable au quotidien par le manager, est enrichie des travaux théoriques de Marston sur le DISC, de Jung sur les Types Psychologiques et ceux de Spranger sur les Motivations. Elle concerne aussi toute personne souhaitant mieux se comprendre et s'épanouir dans son environnement professionnel et personnel.

Cet ouvrage va bien au-delà de l'utilisation des couleurs, il nous propose de devenir les managers de nos propres vies.

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 22:02

Eric Albert est déjà l'auteur de nombreux ouvrages de management rédigés en dehors des sentiers battus, notamment "Le manager durable" ou "Le manager est un psy". Eric Albert est aussi président de l'Institut Français de l'Anxiété et du Stress.

Dans son nouveau livre Eric Albert propose aux managers de prendre des bonnes résolutions à rebours du "travailler plus"... En faire moins, plus personne n'ose en rêver dans les entreprises où, au contraire, c'est le toujours plus qui domine.

Pourtant, ce nouveau livre d'Éric Albert est loin d'être seulement provocateur. Sa démarche est double. Dans un premier temps, il s'adresse aux dirigeants pour leur proposer une façon d'aborder le management plus cohérente et plus simple. Il s'agit de construire une véritable stratégie managériale qui ne se contente pas d'appliquer des modèles tout faits dont plus personne n'ose garantir le succès, mais qui réponde réellement aux enjeux de l'entreprise. Dans un second temps, il s'adresse aux managers et les incite à adopter une autre démarche vis-à-vis d'eux-mêmes : en faire moins, c'est aussi ne pas se laisser piéger par un système qui les culpabilise de ne jamais en faire assez.

Dans cet ouvrage passionnant, l'auteur s'appuie sur une grande expérience du monde de l'entreprise et développe une réflexion originale, innovante et pragmatique. Il redonnera du souffle à ceux qui ont le senti ment de courir un marathon au rythme du cent mètres !

Partager cet article
Repost0
26 août 2007 7 26 /08 /août /2007 22:03

Il est de bon ton de citer Henry Mintzberg, Peter Drucker, Tom Peters, Michael Porter, Rosabeth Moss Kanter ou encore James Champy. Mais combien se souviennent réellement de leurs écrits. Si parfois il suffit de citer l'un de ces noms pour accréditer un point de vue, il est toujours préférable de bien savoir à quoi font référence les grands théoriciens du management. C'est tout simplement ce que s'est proposé de faire Carol Kennedy avec son livre. Elle entend donner les réponses aux grandes questions du management par l'intermédiare des auteurs les plus connus.

En allant à la source des théories, Carol Kennedy fait pénétrer l'intimité de pensée de ces auteurs qu'elle remet en perspective avec leurs apports successifs. Déjà auteur d'un précédent et remarqué "Toutes les théories du management" dont le principe reposait également sur une contribution des grands auteurs. Carol Kennedy a le mérite de remonter à la source théorique. Pas Moins de 20 thèmes sont proposés dont l'entreprise en mutation, la gestion du changement, le reengineering, la gestion du savoir, la motivation, la qualité, la startégie, le marketing, l'avantage concurrentiel ou encore le management mondialisé.

Pour chaque thème, une introduction très bien faite recadre la question et résume les apports successifs de tous les théoriciens. Ensuite, la "parole" leur est donnée sous forme d'extraits de leurs ouvrages. Une manière simple et rapide de comprendre et surtout de bien assimiler des différentes théories des grands "gourous" du management. Avec ce livre plus d'excuse d'ignorer ce que Mintzberg entend par adhocratie ou ce que Michael Porter met dans son "chaos management"

Partager cet article
Repost0
12 août 2007 7 12 /08 /août /2007 23:15

 Il y a des livres de coaching de 500 pages, qui nous font piquer du nez dès que l'on s'y plonge... et il y a les petits dessins de Gabs. Sorte de "caméra café", version subtile, où la vidéo devient bande dessinée. Drôle, efficace, son coup de crayon recrée les contours de l'entreprise avec réalisme et décalage. Après les clients, les commerciaux, le management, c'est à "l'entretien individuel" que s'attaque le dessinateur. Cet éminent rendez-vous annuel, que l'on attend avec impatience... et crainte.

En quelques tracés nori et blanc, tout y est. Vous vous reconnaîtrez forcément dans l'un de ces petits personnages, aussi attachants que des collègues de bureau. Il y a celui qui débarque à l'entretien avec une bouteille de vin en étrenne, celui qui ne pense qu'à demander une augmentation. Celle qui préfère parler de son petit dernier, plutôt que de ses objectifs de rentabilité, ou encore celui qui va jouer au golf avec le boss juste avant son entretien.

Bref, le panel est plutôt réussi. Les patrons en prennet aussi pour leur grade : l'un ne vous reçoit que cinq minutes, l'autre, bien connu, continue à taper "un dossier important" pendant que vous lui parlez de vos soucis professionnels. Les dialogues sont courts, les dessins épurés. Mais on ressort de cette lecture ludique avec une certitude : voilà des choses à ne jamais faire lors du prochain entretien individuel. L'occasion aussi de retenir des expressions enlevées, à ressortir à la cantine, entre collègues : "L'entretien annuel, c'est "Bas les masques" pendant une heure, et "Perdu de vue" le reste de l'année."

Partager cet article
Repost0
8 août 2007 3 08 /08 /août /2007 18:25

"Les leaders considèrent les conflits comme des symptômes de leur incompétence. Or leur nombre dans les équipes n'indique aucunement leur niveau d'efficacité. Le véritable critère d'efficacité reste la façon dont on résout les conflits." Voilà un avis qui devrait faire réfléchir... Thomas Gordon, psychologue, explique que les managers d'aujourd'hui, contrairement à ceux des générations précédentess, recherchent trop la paix à tout prix. Une erreur, car les conflits qui n'apparaissent pas au grand jour favorisent l'accumulation de ressentiment chez les collaborateurs. Quand au manager qui ne résout pas ses conflits, il risque de verser sa frustration sur d'autres. Revenant sur un certain nombre d'idées reçues, Thomas Gordon livre un ouvrage abordable sur les préoccupations actuelles des managers, enrichi de nombreux exemples.

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 19:49

 "C'est n'importe quoi !" C'est souvent à la machine à café que la phrase est lachée. Pour qualifier votre dernière réunion, votre emploi du temps, ou même la stratégie de votre PDG. Tentez un rapide calcul : combien de fois dans une même journée vos collègues lancent-ils cette exclamation? Pour David Autissier, maître de conférences à l'université Paris-XII, cette expression est un "coup de gueule à l'absurde, un cri dans la nuit du non sens!" Et la preuve que le monde de l'entreprise ne brille pas dans sa rationalité!

L'auteur a choisi de brosser avec humour dix situations professionnelles de "grand n'importe quoi". Comme la traditionnelle réunion du lundi matin, qui dure deux heures et n'aboutit à rien, sinon à ce genre de discours vide de sens: "Pensons performance collective et non plus acquis individuel." Une remarque? "C'est n'importe quoi!".

Et malheureusement la liste est longue de ces situations absurdes. Pourquoi tout faire dans l'urgence, supporter un boss hystérique, assister à des séminaires inutiles? La solution de l'auteur: brandir le carton jaune "Porte nawack" ("n'importe quoi" en verlan), fourni avec l'ouvrage, pour dire que vous n'êtes pas d'accord, et que vous désirez changer de manière de travailler. Inutile? Peut-être. Mais vous aurez au moins le mérite de faire rire...

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 18:55

 RAS LE BOL des discours sur la nécessité du changement et autres réformes rendues nécessaires par la concurrence mondiale? Voici enfin un ouvrage rassurant.

Sur près de 270 pages, il n'est question que du confort de l'immobilisme, des bonnes raisons pour ne rien changer et des meilleures recettes pour déjouer toutes les tentatives de réformateurs zélés. En pratiquant ainsi la dérision permanente et le second degré, les auteurs, le consultant Patrick Krasensky et le conseiller en communication Pierre Zimmer, misent sur l'instinct de contradiction typiquement gaulois de leurs lecteurs.

Et ça marche. A coups d'exemples absurbes et de conseils de mauvaise foi, ils laissent émerger ce choix crucial: souhaitons-nous être les acteurs du monde de demain ou préférons-nous fermer les yeux et subir la situation? A ce titre, le bestiaire proposé par les auteurs est particulièrement instructif. Après l'âne Buridan, mort de n'avoir pu ce décider entre deux mets de choix, on y découvre les grenouilles de Jean Rostand. Au siècle dernier, le biologiste s'est rendu compte qu'un batracien plongé dans une casserole d'eau froide que l'on fait chauffer à feu doux se laissera glisser dans une douce torpeur jusqu'à la mort. Le même animal, immergé dans une marmite à 50 degrés, s'en échappe immédiatement. Un exemple à méditer.

Extraits du livre paru aux éditions d'organisation

Partager cet article
Repost0