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  Le Modèle DISC

Outil de management, de soi même, d’autrui et des situations, permettant de mesurer le comportement d’une personne ainsi que ses motivations, ce qui la pousse à agir. Chacun d’entre nous possède des niveaux différents de chacune de ces couleurs, c’est ce qui nous rend unique.

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Le management
situationnel

 

Cliquez ici pour lire l'article "le management situationnel"

Directif: Le manager prend la décision. Il donne des instructions précises et surveille de près les résultats.
 
Persuasif: Le manager prend la décision après discussion ou explications. Le manager explique ses décisions et donne des occasions de discuter.
 
Participatif: Le collaborateur prend la décision avec le soutien du manager. Le manager partage les idées et facilite la prise de décision.
 
Délégatif: Le collaborateur prend la décision. Le manager délègue ses pouvoirs pour les décisions et l'exécution. 


Le MBTI

 
Cliquer pour lire l'article sur le MBTI
Etabli d'après les travaux de Carl Jung par Katharine Briggs et sa fille Isabel Myers, l'indicateur typologique Myers-Briggs offre 16 types de caractère possibles à partir de 16 combinaisons.
 


Préférences cérébrales

 
 
   


 La fenêtre de JOHARI
Modèle qui représente le degré de connaissance de l'autre et de soi-même dans les relations entre individus. Il traduit les différentes interactions entre l'individu et le groupe dans lequel il évolue. 
 
 
Le modéle
Blake et Mouton
Cliquez pour lire l'article sur la Grille de Blake et Mouton
 
Cette grille permet de définir cinq styles de comportement (susceptibles de variations et de nuances). Ce sont:
- le style 9.1 "boulot-boulot": exclusivement axé sur la production, il cherche à éliminer au maximun l'incidence des facteurs humains.
- le style 9.9 "esprit d'équipe": développe simultanément et de façon harmonieuse un fort souci des personnes et des exigences de production élevées.
- le style 1.9 "gentil organisateur": uniquement préoccupé du climat et des bonnes relations, il laisse au second plan les exigences de production.
- le style 5.5 "opportuniste-pragmatique": négocie adroitement et à tour de rôle entre la satisfaction des demandes personnelles et les exigences de production.
- le style 1.1 "retrait": n'assure qu'un minimum d'instructions, d'information et de présence.
 
 

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entretien d'évaluation
Quel jugement portez-vous sur les entretiens d'évaluation dans votre entreprise ?
excellent
bon
satisfaisant
décevant
médiocre
l'entretien annuel n'est pas pratiqué

Résultats
 
entretien d'évaluation
Quel est le point que votre manager pourrait améliorer durant l'entretien d'évaluation ?
sa capacité à me motiver
sa connaissance de mon poste et de mon activité
sa capacité à me conseiller
sa qualité d'écoute

Résultats
 
 
Il est essentiel d'élaborer un plan d'action commun pour que l'entretien d'évaluation trouve une conclusion positive. Pour donner de bons résultats, un plan d'action doit suivre le modèle SMART:
- Spécifique: que voulons-nous réaliser concrètement?
- Mesurable: il faut pouvoir mesurer les objectifs (durée, qualité, quantité, coûts ...).
- Approprié: l'entretien s'accorde-t-il aux objectifs de l'organisation et aux besoins de votre collaborateur?
- Réaliste: il doit être acceptable, correspondre aux moyens de votre collaboration et de votre organisation.
- Temps: le plan aura une échéance, à diviser en étapes pour permettre un suivi régulier.
 
recrutement
Pour recruter, vous vous fiez avant tout
aux diplômes
à l'expérience
à la personne

Résultats
 
recrutement
Faites-vous passer un test de personnalité à vos candidats ?
Oui
Non
Pour certains postes

Résultats
 

Archives

1 mai 2006 1 01 /05 /mai /2006 13:31
L'équipe de Brother and Brother une parodie de World Company a encore frappé. Dernière attaque en date sur le CV anonyme, cet objet bureaucratique non identifié.

 

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24 avril 2006 1 24 /04 /avril /2006 05:41
Appliquez 5 règles de motivation !
 
Des mesures de réorganisation, des soucis quant à  la sécurité de leur emploi, inquiètent bien des vendeurs et créent une atmosphère très morose dans les services commerciaux. Est-ce le cas dans votre entreprise ? En votre qualité de responsable des ventes, que pouvez-vous faire pour empêcher le découragement de la force de vente et pour améliorer l'humeur de votre équipe ?
 
1. Inversez la tendance
Renoncez aux "discussions sur la conjoncture" qui versent dans le pessimisme. Ce genre de réunions déstabilise encore plus la force de vente, sans parler des rumeurs qui risquent d'arriver aux oreilles de vos clients.
Ne poussez pas vos collaborateurs dans la précipitation, en démarrant sans cesse de nouvelles actions, en modifiant les conditions et en envoyant d'incessantes circulaires. Toute crise d'actionnite aiguës" n'est que cause de démotivation.
 
2. Soutenez le vendeur au creux de la vague
Plus un vendeur a de soucis, plus un contact personnel avec son supérieur hiérarchique s'avère indispensable. Si par exemple un vendeur perd brusquement un client important, votre aide est alors absolument nécessaire. Ecoutez avec patience le récit qu'il vous fait de ses échecs. Redonnez-lui du courage ! Mais faites-lui part aussi de votre jugement sur ses activités.
Les échecs déclenchent souvent un sentiment d'impuissance. Les collaborateurs concernés croient ne pouvoir exercer aucune influence sur l'adversité qui les frappe. Inoculez à vos commerciaux l'idée qu'ils peuvent très bien diriger les événements qui les touchent au plan personnel ou professionnel.
 
3. Collaborez plus étroitement avec votre équipe de vente
Lorsqu'un vendeur se trouve livré à lui-même, son pessimisme ne fait que croître. Et ce manque de confiance amoindrit ses chances de réussite. Dans le cas d'une conjoncture difficile, trop d'indépendance génère de l'angoisse puis du mécontentement et de l'inaction.
Mobilisez vos vendeurs ! Déterminez avec eux des objectifs communs. Les objectifs réalisables sont les stimulants de l'action. Prenez des accords avec eux sur les ventes à réaliser, sur la prospection de nouveaux clients, sur le rythme des visites, sur les produits à présenter, etc.
 
4. Renforcez votre feed-back, en cas de succès comme en cas d'échec.
Le mécontentement du vendeur augmente s'il ne sait pas comment son chef des ventes apprécie ses résultats. Quelques paroles de reconnaissance peuvent faire de vrais miracles ! Prenez le parti de votre collaborateur, s'il est dans son droit, même si cela vous oblige à affronter la direction générale. En cas d'incident ou de panne, faites preuve d'indulgence ; un collaborateur a lui aussi le droit de commettre une erreur.
L'humoriste Mark Twain disait : "Un bon compliment peut me faire vivre pendant deux mois." Mais un reproche lancé habilement peut, lui aussi, être un facteur de stimulation...
 
5. Surveillez les nouveaux vendeurs
Un nouveau venu a souvent plus de mal à maîtriser les difficultés du marché qu'un collaborateur expérimenté.
 

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12 avril 2006 3 12 /04 /avril /2006 22:03
 
 
Quel est le profil du nouveau manager ? Son style de travail intègre le facteur ressources humaines, son style de commandement est démocratique et son style de décision est plutôt analytique.
 

MMD, structure spécialisée dans le conseil en management, s'est penchée sur le profil des managers en interrogeant 415 dirigeants d'entreprises françaises. Au travers de huit critères, cette étude tente de cerner les composantes et les valeurs des managers dans les grands registres professionnels : styles de travail, de commandement ou encore de décision. De quoi mieux décrypter les dirigeants dans leurs façons d'opérer, même si les étiquettes retenues pour cette enquête ne sont pas toujours d'une lisibilité extrême.

Le style de management dominant (source MMD)
Style Part des dirigeants d'entreprise
Social 43 %
Managérial 40 %
Classique 4 %

Pièce maîtresse, le style de management repose selon cette étude sur deux grandes approches : le "social" (43 %) et le "managérial" (40 %). Dans le premier cas, il s'agit d'articuler le management autour de la mise en valeur des individus en favorisant les échanges et les relations humaines. Les valeurs prônées sont alors la responsabilisation, la communication et la souplesse.

Dans le deuxième cas, le style managérial, il s'agit d'une approche systémique selon laquelle le management repose sur des techniques, des méthodes et des concepts définis. Les valeurs s'orientent dans ce cas vers l'adaptabilité, les compétences et la direction par objectifs.

Ce style de management est à rapprocher du style de travail, où "l'animation des hommes", c'est-à-dire la capacité à motiver les équipes, s'impose comme le critère principal pour 39 % des dirigeants d'entreprise. La logique de planification ("organisation du futur", 11 %) ou le "souci du résultat" (8 %), qui arrivent en deuxième et troisième positions, s'affichent en net retrait.

Le style de travail dominant (source MMD)
Style Part des dirigeants d'entreprise
Animation des hommes
39 %
Organisation du futur
11 %
Souci du résultat 8 %
Coordination 7 %
Résolution de problèmes
5 %
Maîtrise des détails 3 %

Le style de commandement (source MMD)
Style Part des dirigeants d'entreprise
Démocratique 46 %
Participatif 24 %
Autoritaire 2 %
Laisser-faire 1 %

Le facteur humain pèse tout aussi lourdement sur le style de commandement, les approches "démocratiques" et "participatives" s'imposant avec respectivement 46 % et 24 %. Dans la logique démocratique, le dirigeant d'entreprise sollicite l'opinion de ses collaborateurs et en tient compte. Dans la logique participative, davantage opérationnelle, tous les salariés impliqués dans la mise en oeuvre d'une décision sont au préalable consultés.

Le style de décision (source MMD)
Style Part des dirigeants d'entreprise
Analytique 31 %
Conceptuel 28 %
Directif 22 %
Social 15 %

Le style d'apprentissage (source MMD)
Style Part des dirigeants d'entreprise
Abstrait 37 %
Action 26 %
Concret 10 %
Réflexion 10 %

L'enquête se focalise enfin sur la "manière de penser" des dirigeants dans le cadre de leurs missions. Sur le plan de la prise de décision, deux styles se détachent. Tout d'abord "l'analytique", un style qui associe rigueur et pensée, qui favorise l'imaginatif, l'ingénueux et le traitement des situations complexes. Autre style privilégié, la prise de décision "conceptuelle", qui s'appuie davantage sur l'intuitif et cultive la prise de risques.

En matière d'apprentissage, deux styles sont également plus largement partagés par les dirigeants d'entreprise : "l'abstrait", qui tend à vouloir tirer une généralisation voire une théorie par rapport aux situations observées, et "l'action", qui peut se comparer à la notion d'expertise en cherchant à appliquer tout nouveau savoir aux décisions futures.

Source : le journal du management

 

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9 avril 2006 7 09 /04 /avril /2006 22:03
Il n'y a en France ni "culture stratégique" ni enseignement de la stratégie. C'est une lacune sur le plan international.
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Il y a, dans la mystérieuse alchimie d'où naissent les "stratégies" - en langage moderne les "décideurs"-, des principes généraux, susceptibles d'être transmis et enseignés : animé de cette certitude, le journaliste Luc Jacob-Duvernet s'est demandé dans quelle mesure cet enseignement, ou cette transmission, se faisait en France. En d'autres termes, existe-t-il dans notre pays ce qu'il appelle une "culture stratégique" ? La question est de la plus haute importance, selon l'auteur, car elle implique les comportements de l'élite du pays, et par conséquent sa réputation et son efficacité dans la concurrence internationale.
 
Pour y répondre, Luc Jacob-Duvernet, s'est livré à une expérience singulière : il est parti de l'idée qu'il y a dans les rapports entre les hommes des règles essentielles, immuables, valables en tout temps, en tout lieu et en toute circonstance. Ainsi L'Art de la guerre de Sun Zi, traité de stratégie rédigé il y a vingt-cinq siècles, en Chine, pour des généraux commandant à des archers, devait contenir des leçons utiles pour des capitaines d'indsutrie, des hommes politiques ou des religieux, en France, à l'aube du troisième millénaire.
 
Avec la collaboration du sociologue Dominique Agostini, et de l'historien Patrick Harismendy, il a donc soumis le livre de Sun ZI à une cinquantaine de "décideurs", pour leur demander les réflexions que leur inspirait cette lecture.
 
Le Miroir des princes est le fruit de cette méticuleuse enquête, ainsi titrée par analogie avec les "miroirs du prince", ce genre qui a fleuri en italie à la Renaissance, et auquel appartient le plus célèbre livre de Machiavel.
 
Ainsi les personnalités interrogées confrontent-elles leur expérience personnelle avec les principes posés par l'auteur chinois. Le principe de lucidité impose par exemple de "se connaître soi-même", mais, selon le banquier Marc Vernes, c'est là une qualité aussi nécessaire que peu répandue. La "connaissance du terrain", qui peut-être assimilée, dans l'industrie, au marketing, et à l'art d'exploiter commercialement une invention est, selon Jean-René Fourtou, trop peu enseignée en France.
 
Ainsi encore analysées les "qualités naturelles" nécessaires aux meneurs d'hommes : l'ambition, la volonté, le "fougue de la jeunesse", les "inhibitions et les frustrations", et enfin la "pulsion", occasion d'une réflexion sur la "boulimie sexuelle" des hommes de pouvoir.
Les personnes interrogées ont eu aussi à expliquer le rôel joué par la formation qu'elles avaient reçues, par les acquis (expérience, travail) qui s'y sont ajoutés, et le rôle de la chance, dont Sun Zi ne parle guère, et où il faut voir non pas un "don du ciel", mais plutôt "un trait de caractère".
Les vertus du startège
De cette foule d'observations et de souvenirs personnels, où les Mémoires de Louis XIV et de Richelieu, les "Commentaires" de César, les Pensées de Chamfort, le Télémaque de Fénelon, parmi d'autres classiques, sont appelés à la rescousse, se dégage donc un tableau riche et bigarré du pouvoir et des moyens d'y parvenir, où le réalisme et l'idéalisme se mêlent et s'opposent inextricablement.
 
La conclusion est decevante : il n'existe pas en France de "culture stratégique". Il n'y a pas de véritable enseignement de la stratégie dans les écoles, et, si Jean-Claude Trichet, estime que celle-ci s'apprend "sur le tas", Michèle Alliot-Marie voit dans cette lacune une cause de "blocage" de la société et un frein pour la France, sur le plan international.
Les principales qualités que le stratège, selon Luc Jacob-Duvernet, "devrait acquérir ou posséder", sont donc trop peu répandues : la "parole", c'est à dire la clarté d'expression, qui s'oppose au jargon administratif, la "psychologie", faculté de se mettre à la place des autres, la "responsabilité", capacité d'assumer ses actes" (l'auteur cite en exemple le drame du sang contaminé), le "courage", celui de dire non.
 
 

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4 avril 2006 2 04 /04 /avril /2006 22:00
Pour identifier votre type d'autorité dans l'entreprise afin d'anticiper les récations de vos interlocuteurs.
Faites-vous face à l'adversité? Savez-vous dire non, défendez vos convictions, votre point de vue ou refusez-vous toute forme de conflits préférant battre en retraite.

Testez-vous:
Répondez spontanément soit:
- plutôt OUI : si vous pensez ou agissez de cette façon la plupart du temps.

- plutôt NON : si vous ne faites ou ne pensez que rarement ce qui est décrit.
SITUATIONS TENDUES
Je dis souvent oui, alors que je voudrais dire non.  
Je défends mes intérêts tout en acceptant que les autres défendent leurs intérêts.  
Je préfère dissimuler ce que je pense ou ressens, si je ne connais pas bien mon interlocuteur.  
Les autres disent de moi que j'ai des tendances autoritaires.  
Je pense qu'il est plus facile d'agir par personne interposée que directement.  
Je ne crains pas de critiquer et de dire aux autres ce que je pense.  
J'accepte de m'occuper de certaines tâches qui manifestement ne relèvent pas de mes fonctions.  
Je ne crains pas de donner mon opinion, même en face d'interlocuteurs hostiles.  
Au cours des négociations "tendues", je préfére me tenir en retrait pour écouter et utiliser ainsi les points faibles des autres.  
 
On me reproche parfois d'avoir l'esprit de contradiction.  
J'ai du mal à écouter les autres quand je dois faire passer une de mes convictions.  
J'utilise des "trucs" et des "ficelles" pour persuader les autres.  
Flatter l'orgueil des autres me réussit bien.  
J'entretiens avec les autres des rapports fondés sur la confiance.  
 Je préfère ne pas demander de l'aide à un collègue. Je ne tiens pas à passer pour un incompétent.  
Je me sens bloqué dès que je dois réaliser une action inhabituelle. J'ai tendance à être timide.  
Je m'énerve et j'explose après avoir accumulé des griefs.  
Je suis à l'aise dans les contacts "face à face".  
 
Je joue assez souvent la comédie pour arriver à mes fins.  
Je suis bavard et je coupe la parole aux autres sans m'en rendre compte à temps.  
J'ai de l'ambition et je suis prêt à faire ce qu'il faut pour gérer ma carrière.  
Jouer "cartes sur tables" est un signe de naïveté, il vaut mieux ruser.  
En cas de désaccord, je recherche les compromis réalistes.  
Je préfère dire tout de suite la vérité, c'est moins compliqué.   
J'ai tendance à remettre à plus tard ce que je dois faire.  
Je laisse souvent des points dans l'ombre pour éviter des conflits.  
En général, je me présente tel que je suis, sans dissimuler mes sentiments.  
Il en faut beaucoup pour m'intimider.  
Pour prendre du pouvoir, il faut faire peur aux autres.  
Je sais reprendre ma revanche à l'occasion quand je me suis 'fait avoir une fois".  
Une bonne manière de déstabiliser son adversaire est de relever ses contradictions et ses incohérences.  
"La fin justifie les moyens", j'agis en conséquences.  
Je suis capable d'être moi même, tout en continuant d'être accepté socialement.  
Quand je ne suis pas d'accord, je l'exprime avec calme et je me fais entendre.  
J'ai des soucis de ne pas importuner les autres.   
J'ai du mal à prendre parti et à choisir.  
Je n'aime pas être la seule personne de mon avis dans un groupe, dans ce cas je préfère me taire.  
Je n'ai pas peur de parler en public.  
Le vie n'est qu'un rapport de forces et une lutte continuelle.  
Je n'ai pas peur de relever les défis dangereux et risqués.  
Créer des conflits est plus efficace que réduire les tensions.  
J'aime bien expérimenter des techniques de psychologie avec mes proches.  
Je sais écouter et je ne coupe pas la parole.  
Je méne jusqu'au bout ce que j'ai décidé de faire.  
Je n'ai pas peur d'exprimer mes sentiments tels que je les ressens.  
Il m'arrive de lancer des "bruits de couloirs" pour alimenter les rumeurs.  
Je fais des compliments pour obtenir ce que je veux, même quand je pense que l'autre ne mérite pas mes compliments.  
J'ai du mal à maîtriser mon temps de parole.  
Je sais manier l'ironie mordante.  
 
Je suis serviable et facile à vivre; les autres ont tendance à m'exploiter.  
J'aime mieux observer que participer.  
Je préfère être dans les coulisses qu'au premier rang.  
Je pense que la manipulation est à terme une pratique inefficace.  
Mentir est parfois nécessaire pour arriver à ses fins.  
J'aime provoquer mes interlocuteurs pour les faire réagir.  
Je préfère être loup plutôt qu'agneau  
Manipuler les autres est le seul moyen pour obtenir ce que l'on veut.  
Je sais protester avec efficacité, sans agressivité excessive.  
Je pense que les problèmes ne peuvent être vraiment résolus si l'on ne cherche pas leurs causes profondes.  
Je n'aime pas me faire mal voir.  

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2 avril 2006 7 02 /04 /avril /2006 22:04

"La cohésion ne se décrète pas. Elle repose sur le partage d'un projet, de priorités et de valeurs communes."

Le cohésion d'équipe constitue bien souvent une réponse à un dysfonctionnement. Pourtant, si l'impact de la cohésion de l'équipe sur son niveau de performance est indiscutable, les remédes, eux, sont beaucoup discutés : la notion de cohésion d'équipe est plus complexe à définir qu'il n'y parait et les méthodes imaginées pour la créer ou l'entretenir sont parfois fantasques et inefficaces.

Construire une équipe, mettre un groupe en cohésion n'implique pas d'obliger chaque équipier à sauter d'un pont accroché à un élastique. Cela consiste avant tout à mettre l'ensemble des membres de l'équipe en accord profond (convictions) avec le but à atteindre, les priorités à servir et les actions à mettre en oeuvre et à piloter chaque jour.

Et vous, votre avis...!

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29 mars 2006 3 29 /03 /mars /2006 22:02
Retour d'un entretien avec une entreprise...
 
Lorsqu'une entreprise constate que les résultats sont plus difficiles à obtenir, que les enjeux deviennent plus importants, la tentation est grande d'accroitre le nombre des priorités, de multiplier les plans ou d'augmenter la pression.
 
En réalité, cette dispersion des énergies ne fait que diminuer l'efficacité est renforce le sentiment d'impuissance des collaborateurs, démotivés de constater les rendements décroissants de leurs efforts pourtant croissants.
 
Dans ce contexte, l'objectif n'est-il pas de permettre aux Equipes de retrouver rapidement et durablement la maîtrise de leurs résultats. En aidant les managers à se recentrer sur les seuls facteurs-clés de succès, en amenant les Equipes à se réapproprier les fondamentaux du métier, le contrat de performance reconstruit la mécanique du succès.
 
Votre avis sur le sujet ! Parlons-en...
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27 mars 2006 1 27 /03 /mars /2006 00:29
De nombreuses entreprises font passer des tests aux candidats qui postulent pour un emploi. Ces tests laissent rarement indifférent. Ils provoquent chez les candidats des réactions émotionnelles qui vont de la panique ("ils vont tout savoir sur moi") à la colère ("j'ai horreur d'être passé à la moulinette..."). La meilleure façon de dédramatiser, est de comprendre à quoi ça sert et comment cela fonctionne.
 
Passer des tests, ce n'est pas s'allonger sur le divan pour savoir si c'est papa ou maman qui conduisait votre poussette le jour de l'accident. Cela n'a rien à voir non plus avec le fait de vous dérider en jouant à "testez votre logique" sur la plage.
 
La meilleure tactique ? se montrer tel que l'on est, à prendre ou à laisser.
 
L'exercice peut se comparer avec le bulletin scolaire d'un enfant. On y trouve sa moyenne, la moyenne de la classe, la note la plus élevée, et la plus basse. Or, s'il a 7 de moyenne en maths, votre interprétation (et votre réaction) seront différentes selon que la moyenne de la classe se situe autour de 13, ou en dessous de 4. Les enfants sentent cela très bien.
 
Les notes brutes n'ont donc de sens que lorsqu'elles sont comparées à un échantillon. Plus précisément, à un échantillon "comparable". Pour les tests, c'est pareil. Ils n'ont de sens que par rapport à une population de référence. Lorsqu'on conçoit un test, on l'administre à des milliers de personnes qui obtiennent des notes brutes. Ce sont des "pairs".
 
A l'issue d'un traitement statistique, on s'aperçoit que les résultats répondent à une loi mathématique (la loi de Gauss), ce qui permet toujours de ramener les notes dans une échelle de 1 à 10, en comparant des profils comparables. Il faut donc dédramatiser le fait de ne pas finir la série, pae exemple. C'est parfaitement normal, il n'y aurait qu'Einstein pour y arriver (vous êtes déçu?). On ne "rate" pas les tests, car ils déterminent non pas votre niveau intellectuel, mais votre forme d'intelligence et la façon privilégiée dont vous raisonnez, en la comparant à des personnes de la même catégorie que vous.
 
La meilleure tactique consiste à accepter de se montrer tel que l'on est, à prendre ou àl aisser. Est-ce si difficile de considérer que, par principe, votre personnalité est riche et originale?
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24 mars 2006 5 24 /03 /mars /2006 23:05
A regarder pour ce wek-end et vous remercier à être aussi nombreux à venir sur le blog.
 
"LUCIE" est un court métrage en images de synthèse fait par des étudiants de supinfocom (promo 1999) spécialisation infographie 3D...(cliquez sur l'image pour démarrer)



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23 mars 2006 4 23 /03 /mars /2006 23:03
 

Le réflexe habituel dans la vie professionnelle est de parler de "personnalité", plutôt que de comportement... Ce réflexe isole l'individu de son environnement et le fige dans une typologie sommaire dont il semble qu'il ne pourra jamais sortir : "Untel n'est pas dynamique" dit-on,  "et n'a pas d'intiative", et on ajoute "d'ailleurs c'est un passif", etc. On oublie simplement qu'il se trouve peut-être dans une situation où pratiquement tout le monde serait passif, étant donné le travail qui est demandé ; on néglige l'environnement et la situation. Ce réflexe, fréquent dans la vie professionnelle, est souvent la source d'inefficacité. Le point de vue du modèle DISC n'est pas celui-là. Il ne décrit pas des caractères ou des personnalités, mais des individus assumant un rôle dans une situation donnée. Je pense que devant un problème, il est plus efficace de réfléchir en terme de situation et d'environnement.

Pour simplifier et faciliter la lecture, je vous propose une formule simple.

Comportement = Personnalité X Environnement

Cela ne veut pas dire qu'il faut nier l'importance de la personnalité, mais il semble qu'il n'est pas possible, dans une situation donnée, de démêler d'une part ce qui est dû à la situation et d'autre part la personnalité ; celle-ci représente ce qui ne change pas, surtout à la maturité, tandis que l'environnement et la situation représentent bien ce sur quoi un manager peut agir.

Les différentes catégories de la typologie DISC ne représentent pas des personnalités, mais elles décrivent plutôt les différentes influences qui poussent un individu à un rôle donné, ce reporter en cela à la typologie de Carl Jung. Le modèle comportemental DISC n'est pas de décrire l'homme en lui-même, mais l'homme rattaché à une organisation, un style c'est-à-dire des rôles extérieurs et des comportements constatables.

L'environnement constitue une pression plus ou moins forte. Suivant la personnalité, la force de résistance ou le sens du compromis, les événements et les comportements des autres provoqueront des réactions variables.

Et vous qu'en pensez-vous ? Théorique le discours ? Alors parlons-en ...

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